fermeture du forum
Après plus de deux ans de bons et loyaux services, GOS ferme ses portes. On vous remercie pour cette aventure et pour en savoir plus, c'est là.
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| | jules † french blood, russian heart sunsets on the evil eye, always on the hunt for a little more time | |
| | Sujet: jules † french blood, russian heart ★ 18.05.18 21:57 ( ☾) | that's my name Rivière, nom bien français. T’as pas changé ton nom pour celui de ceux qui t’ont recueilli. Pourtant tu le sais que t’es un Dmitriev part entière, ils te l’ont déjà dit plus d’une fois. Mais ce nom, c’est le tien et il n’appartient qu’à toi. Et puis, c’est plus facile d’aller partout avec un nom bien français comme ça, tout de suite les gens sont moins suspicieux. They call me Jules, il parait que c’était ça le nom qu’ils t’avaient donné tes parents, c’est ce qu’ils t’ont dit et c’est ce qu’il y a de marqué sur ta pièce d’identité. Ca et Etienne comme deuxième prénom. Mais dans le fond, t’es sûr de rien, t’étais bien trop petit pour te souvenir de quoi que ce soit. Speedy, c’est le surnom qu’on te donne au sein de la famille. Il parait que c’est le nom d’un héros, un de ces héros de l’ombre. Et c’est vrai que quand on t’appelle comme ça, t’as l’impression d’être un super-héros, et tu l’es peut-être dans le fond. Ce surnom, t’en es fier, parce que tu l’as gagné au fil des années. T’es passé du gamin à Speedy, alors que ta reconnaissance a grandi. laughter lines dix-huit ans, visage de gosse et yeux un peu trop curieux sur le monde qui t’entoure, pourtant ça fait bien longtemps que tu l’as perdu ton innocence. moneymaker Etudiant en sciences politiques à la Sorbonne, visage de gamin bien élevé parfait pour s’adapter au milieu dans lequel tu dois faire tes preuves. Ils ont fait de toi ce que tu rêvais, ils t’ont donné un futur dans ce monde. Mais tu resteras à jamais lié à eux, bras armé de la mafia depuis que t’as seize ans. Enfant prodige le jour, homme aux mains bien trop sales la nuit. Ces études, c’est juste un moyen de parvenir à vos fins, mais t’aimes ça, c’est peut-être pour ça qu’on te les a proposées. heart like that T’as l’cœur qui bat que pour ta famille, celle qui t’a recueilli toi, le p’tit orphelin. De toute façon, qui d’autre pourrait bien vouloir de toi, après tout, tu mérites pas grand monde. Sex on fire Y a que les corps des filles qui te font rêver. Ceux que t’observes au loin, leurs sourires recouverts de rouge et leurs yeux cernés de noir. Y a que les filles auxquelles tu touches pas. La castagne, c’est un truc de gars et elles tu les respectes et tu les aimes bien trop pour les cogner. Blood lines La mafia, cette organisation qui est devenue ta famille quand t’as perdu la tienne. Orphelin, gosse des rues récupéré pour se trouver une autre famille qui ne pourrait pas mourir parce qu’elle était bien trop importante. Ils t’ont évité l’orphelinat et t’as jamais vraiment su pourquoi. Ils t’ont dit qu’ils avaient une dette envers tes parents et toi t’y as cru. T’as jamais vraiment posé de questions sur eux et ils t’ont jamais vraiment donné de réponses. Ils t’ont dit que tu les aurais quand tu serais majeur, alors maintenant que c’est le cas, tu les attends. society L'argent, il coule à flot, mais l'argent il est sale. Alors si t'as pas de problème pour survenir à tes besoins t'appartiens pas non plus aux hautes familles bourgeoises de Paris. Parce que la mafia, elle reste discrète sur ce qu'elle a. home address Le XVIIè, cet arrondissement que vous controlez, celui où t'habites depuis que t'es gosse comme le reste de la mafia. theme song Insérez ici la chanson qui représente le mieux votre perso ou qui vous a inspiré pour le créer. No one sees me but the silver moon speedy Speedy, ramène toi on va être en retard. J’arrive papa, deux secondes. Les gars attendent déjà on peut pas les faire attendre des heures. J’suis là. T’as ton pull à capuche. Oui dans mon sac t’inquiète. Mieux vaut prévenir que guérir, personne doit savoir à quoi tu ressembles, personne. Ca fait trois ans que tu me le dis, je le sais depuis le temps. Ton visage, tes études, c’est ça le plus précieux, pas ces missions là. Tu essaies de me faire arrêter le terrain ? C’est pas ce que j’ai dit, mais t’es pas obligé de venir si tu veux pas. Ton diplôme, ça reste ta plus grande arme.
C’est qui ce type ? On pense que c’est un policier en civil, on l’a croisé en train de fouiner dans la rue. Sérieux ? C’est peut-être juste un gars intéressé pour nous rejoindre, qui sait ? Speedy, tu peux être sérieux deux minutes là et laisser bosser les grands ? Ca va… La prochaine fois, si ma présence pose problème vous vous débrouillerez sans moi. Speedy, reviens c’était une blague.
Enregistrement n°124 – Speedy, vous avez dit Speedy ? Oui Speedy. C’est comme ça qu’ils l’appellent. Et est-ce que vous pourriez le décrire ce Speedy. Difficile. Il avait le visage sous une capuche et il faisait sombre. Je dirais qu’il fait à peu près ma taille, assez fin, je dirai qu’il est blond mais avec la pénombre, c’est difficile à dire. Donc blond, de taille et de carrure moyenne. Est-ce qu’il y a autre chose qu’il faut que l’on sache sur lui. Quelque chose que vous avez pu comprendre dans leur conversation. Il est jeune. Je sais pas quel âge mais il est jeune. Ça s’entendait à sa voix, aussi dans la façon qu’ils s’adressaient à lui. Merci pour vos informations.
Réunion n°15 – 36 quai des orfèvres La mafia russe continue de poser beaucoup de problèmes dans le dix-septième arrondissement et on n’a aucune idée de ce qu’ils prévoient. On ne sait pas s’ils prévoient de s’étendre mais il faut qu’on soit prêt. Selon toute logique, s’ils s’agrandissent, le dix-huitième peut être un arrondissement prisé. De toute façon, il faut les arrêter, on ne peut pas laisser un tel groupe contrôler une partie de la ville. Dumont, t’as eu des nouvelles informations ? Oui chef, on a eu un interrogatoire la semaine dernière, on a des nouveaux noms qui sont sortis, on cherche toujours à les identifier. Il y aurait un grand, brun baraqué d’une trentaine d’année. On a aussi des informations avec l’implication d’un avocat qui travaillerait pour eux, mais on n’a pas de description, ça a été compris en cours de conversation. On n’est qu’à moitié étonné par cette information, on pense qu’ils ont infiltré pas mal de lieu et de milieu au sein du 17ème. Et puis on a un nouveau nom qui est sorti : Speedy. On a une pseudo description mais ça reste flou, ça peut être tout et n’importe qui, on a pas de portrait-robot. Mais selon celui qui leur a échappé, il serait blond, de taille moyenne et jeune. Ouais, c’est vague, y a pas de quoi lancer le moindre avis de recherche. Bon, on continue de fouiller. L’infiltration ça donne quoi ? Toujours rien. C’est dur de les approcher. On a approché des sous-fifres, mais ils ne reçoivent pas leurs informations du plus haut niveau, alors pour faire tomber la tête, ça va pas être simple.
And i pray, oh my god do i pray jules caractère loyal, violent, passionné, doux, aimant, intelligent, beau parleur anecdotes Tatouages † Y en a pour qui c’est des œuvres d’arts les tatouages, toi c’est des récompenses. Chacun d’entre eux à une signification. Un tatouage pour une action réussie. Un tatouage pour un cap passé. T’as l’éclair au poignet, pour la lumière que tu diffuses sur les ennemis, la faux dans le dos pour ta première vie prise et l’étoile sur le cœur, ton droit d’assister aux réunions de prise de décision. Symboles gravés à jamais. T’es marqué, t’appartiens à la mafia autant que tu veux en être.
Musique † Y a le son du piano qui s’élève dans l’air alors que tes doigts appuient sur les différentes touches. La mélodie s’élève et tu souris. Quand t’es devant ton piano, y a toute la douceur qui revient, tu redeviens le gosse que t’étais avant d’entrer dans le mouvement. T’as le regard mélancolique et la douceur qui étire tes traits.
Bagues † Y a les chevalières qui ornent des mains, une pour les Rivière, une pour les Dmitriev. Deux noms qui comptent autant pour toi, deux familles qui font ce que tu es aujourd’hui. T’aurais pu jamais être un Dmitriev, mais c’était les Rivière qui t’avaient mis sur leur chemin en devenant leur défenseur des années plus tôt. Alors ces bagues, t’es fier de les porter, parce qu’ils représentent ce que tu es.
Couteau † Y a ton canif qui te suis partout depuis que t’as quinze ans et que tu t’es fait planté. Il est dans ta poche, à l’abri des regards mais si facile d’accès. Parfois, quand tu te sens en danger, ta main se referme dessus, réflexe, habitude. Tu le sors souvent, ton couteau, quand t’es à l’abri des regards. Un couteau, c’est plus discret qu’un flingue, c’est plus silencieux aussi.
Russe † Y a cette langue que tu maitrises, celle que tu peux utiliser parfois chez toi, celle que vous utilisez parfois pour vous transmettre des infos dans la rue. T’as pas l’accent russe quand tu parles français, t’as pas l’accent français quand tu parles russe. Ca fait depuis que t’es gosse que t’utilises les deux langues.
Discrétion † Y a tes potes, tes proches, tes rares conquêtes, ceux qui se doutent de rien, ceux qui imaginent même pas ce que tu as déjà vu et fait. Parce qu’on te donnerait le bon dieu sans confession, avec ton air angélique et ton air de gosse. Peut-être aussi parce que tes parents s’ils sont fortement impliqués dans la mafia, ça n’a jamais été les visages de celle-ci.
not comin' home you're not coming home Pouvoir Luminokinésie, ce pouvoir que t’as caché pendant des mois quand t’as compris ce que tu pouvais faire par peur de les perdre en sachant ce qu’ils pensaient du surnaturel et des disparus. Une arme entre tes mains et les leurs à présent. Lumière qui éblouie, lumière qui brule, lumière qui défend ou attaque, lumière qui fait parler. What you know Le grand départ, il n'a pas de doutes Jules, il a que des certitudes, la certitude qu'il doit se tenir loin des disparus, la certitude qu'ils ne sont plus comme avant. Pas de preuves, une simple impression Let's play Membre de la mafia, tu dois être la gueule d'ange, celui qui se mêle aux futurs grands de ce monde, celui qui devra un jour infiltrer le monde politique pour ta famille, corrompre les gouvernements et les mairies. Pour toi, les démons et les anges, fiction ou réalité ? Les anges et les démons, c'est qu'un mythe, un mythe pour faire un peu peur aux enfants. Pourtant, au fond, t'espères qu'il y en a un qui veille sur toi. Un ange qui te protège et protège peut-être aussi un peu le monde de toi. Les templiers, c'est un mythe, pas vrai ? Un conte qu'on t'a lu bien des fois, une histoire de chevaliers, de temple, de trésor. Une légende pour faire briller les yeux d'enfants et les tiens ont brillés. Que penses-tu des manifestations surnaturelles soudaines ? Le surnaturel, ça fait longtemps que tu sais qu'il existe. Tu le sais depuis ce jour où tes mains se sont allumés. T'as jamais cru être le seul, tu pensais juste que ça tournerait pas comme ça, mais c'était un peu évident que ce serait le cas non ? Crois-tu en dieu ? Dieu, tu le pries tous les jours, tous les soirs, après chaque crime commis. Dieu, t'espères qu'il saura te pardonner même si t'en doutes. Mais Dieu, tu comprends pas pourquoi il te laisse continuer. Le maire, tu lui fais confiance ? T'as jamais confiance dans les maires, quels qu'ils soient. Ce sont des ennemis, ceux qui tentent de faire régner l'ordre. Alors lui ou un autre, ça ne change pas grand chose. De toute façon, quel qu'il soit, son assemblée finira entre vos mains. They left T'as perdu personne au moment du grand départ, aucune connaissance, aucun ami. Mais tu sais que la mafia en a perdu, des personnes qui étaient à l'extérieur du 17è à ce moment là. Toi t'es juste heureux d'avoir été dans cet arrondissement et que tous tes proches l'aient été également. where did they go ? T'étais qu'un gosse, t'as pass vraiment compris sur le coup le problème avec tout ça. C'était presque normal. C'est quand ils sont revenus que t'as vraiment pris conscience que c'était pas normal. Alors les disparus, tu les côtoies pas, tu t'en éloignes, parce qu'ils ont quelque chose d'étrange, parce que tu les crois pas quand ils disent se souvenir de rien, ils doivent forcément mentir. Alors tu les observes de loin, tu t'en méfies comme de la peste, ils ne seront pas ceux qui te feront tomber. you're not coming home The real star a star is born pseudo sarah âge 23 ans Comment as-tu trouvé le forum ? ça fait trop longtemps (prd) Qu'en penses-tu ? Feat. louis hofmann crédits dandelion, what else ?
Dernière édition par Jules E. Rivière le 19.05.18 22:13, édité 5 fois |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 18.05.18 21:58 ( ☾) | Mafia's son Blood & tears Dix-huit ans. Pardonnez-moi mon père car j’ai pêché. T’as les yeux qui se ferment et les mains qui se joignent alors que t’es dans ta chambre. Y a ta prière qui part mais il n’y a personne pour l’écouter. T’as les mains salies par le sang qui coule bien trop. T’as le cœur assombri par les vies arrachées. Tu sombres dans la noirceur alors tous les soirs tu cherches la lumière pour te guider dans les ténèbres de ton existence. Tu cherches à comprendre ce qui est juste et ce qui ne l’est pas. Tuer ou être tué. Voler ou être volé. Tu cherches le pardon que tu ne mérites pourtant pas. Ironie d’avoir le regard et le cœur aussi sombres quand la lumière coule pourtant en toi. De toute façon, t’as beau rêver du Paradis et qu’on te pardonne tous tes pêchés, tu sais très bien qu’il n’y a plus grand espoir pour toi et ton âme où le poids des erreurs et des horreurs est bien trop important pour ta jeunesse. Alors t’as plus qu’à défier la mort pour rester un peu plus longtemps encore sur Terre. Parce qu’une fois que tu la quitteras, ça sera certainement moins sympa. C’est devenu automatique avec le temps tes prières. Aussi automatique que les coups que tu peux prendre. T’as déjà les cicatrices qui ornent ton corps de gamin. Le coup de couteau dans le bas du ventre, la balle dans l’épaule. Dessins gravés à jamais sur ta peau. Cicatrices qui se mêlent à l’encre des tatouages d’appartenance, ceux que t’as gagné au cours de tes missions. L’éclair au poignet, la faux dans le dos, l’étoile sur le cœur. T’as dix-huit ans et t’as déjà donné ton âme à la mafia. Mais si c’était à refaire, tu le referais, parce qu’ils étaient les tiens.
Tu détournes le regard quand ta mère essaie de le croiser. Tu veux pas qu’elle y lise toute sa noirceur. Tu veux pas qu’elle y voit que t’es en train de te perdre. Mais elle le sait déjà. Parce que tout ça, elle le lit dans celui de ton père tous les jours. C’est peut-être aussi pour ça qu’elle priait quand t’étais gosse et qu’elle prit encore, pour le sauvetage de vos âmes. Elle était peut-être pas sur le terrain, mais elle savait tout. Tiens, c’est pour toi. Elle ouvre un tiroir et elle en sort une chevalière. Elle appartenait à ton père. Elle la glisse dans ta main et tu l’observes. T’as le cœur qui rate un battement, déjà t’étais encore capable de ressentir, tout n’était peut-être pas perdu. Il est temps que tu saches la vérité. Vérité que tu attendais depuis bien trop longtemps. Vérité que tu crains un peu aussi. Mais la vérité, elle est simple dans le fond. C’était juste une histoire de dettes. Parce que c’était leur avocat ton père pendant un temps et c’était juste une question de vengeance entre mafias. C’était ta famille qui avait pris pour avoir accepté de défendre les russes et pas les autres, pour avoir été un peu trop bons. T’écrases une larme quand elle sort les photos qu’elle avait gardé précieusement pendant tout ce temps et que tu feuillettes les pages de l’album. Tu crois… T’as la gorge qui se noue, violemment. Tu crois qu’ils seraient fiers de moi ? T’as les yeux un peu trop brillants. T’as la peur qui t’oppresse. Qu’est-ce qu’ils penseraient de savoir leur fils dans la mafia, torturant, tuant pour les siens ? Y avait vraiment pas de quoi être fiers. Je n’en doute pas un seul instant. Tu tentes de chasser les larmes, mais t’y arrives pas. Viens-là. T’as dix-huit ans, t’as tout d’un caïd si ce n’est la dégaine, mais t’en as besoin, du réconfort de celle qui est devenue ta mère il y a des années déjà. Moi aussi je suis fière. Et que tu sois ou non dans le mouvement, tu seras toujours un Romanov à mes yeux, ça fait bien longtemps que c’est le cas. Ces mots, elle avait pas besoin de les prononcer pour que tu le saches, mais t’étais content qu’elle l’ait fait. Parce que t’en avais peut-être eu un peu peur au début, de les décevoir si t’entrais pas dans la mafia. Tiens. Tu t’écartes un peu alors que le feu brule dans l’âtre à côté. Ton regard se perd quelques secondes dans les flammes avant de se poser vers la nouvelle bague. Elle ajoute rien, elle se contente de déposer le bijou sur la table à côté de vous. Parce qu’il n’y a pas besoin de mots pour savoir ce qu’il représente. Parce que tu le sais depuis que t’es capable de comprendre les conversations des éminents membres des familles russes. Chacun son armoirie. Aujourd’hui, t’étais officiellement l’un d’eux, quelques soient tes choix à venir. Bon ou mauvais, impliqué ou non, tu serais toujours un Dmitriev, un Romanov comme te serais à jamais un Rivière. Et rien que pour cela, tu savais que t’avais fait les bons choix. Parce que ça avait toujours été pour plus que la mafia que tu t’étais battu. C’était pour ta famille et c’était pas du vent.
Le sourire aux lèvres quand ils t’annoncent qu’aujourd’hui tu vas pouvoir participer au conseil de la famille. Ce conseil, c’est la reconnaissance pour tous les membres de la mafia. Et ça l’est encore plus pour toi, leur gosse adopté, le gosse recueilli dont ils ont fait un des leurs, celui qu’ils ont modelé à leur image parce que c’était encore possible. T’es né dans la mafia, tu vois même pas les soucis. Alors lorsque tu t’assoies à ta place, tu vois la fierté qui trône dans le regard de ton père qui siège en face de toi. Tous les visages, tu les connaissais déjà depuis longtemps mais tu savais pas forcément les rôles qu’ils avaient au sein de la hiérarchie mafieuse. Tu restes silencieux pendant que t’écoutes. Ton heure, c’était peut-être aujourd’hui pour intégrer le cercle, mais pas encore pour donner ton avis. Ecoute et apprends qu’il t’avait dit ton père. T’allais pas lui faire honte en posant dans questions qui n’en valaient pas la peine. Ils sont même pas suspicieux de te voir là les autres, toi et ta tête de gamin, parce qu’ils le savent tous dans le fond et toi aussi d’ailleurs, que t’es le fils d’un des leurs et que ton cœur il battra toujours pour eux. Et après plusieurs années de service, il n’était que grand temps que tu rejoignes officiellement le cœur de celle-ci pour les prises de décision.
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Dix-sept ans. Ta main tremble pas alors que la balle jaillit dans un bruit sourd du canon du revolver que tu tiens à la main. Elle tremble plus depuis le temps. C’était devenu une habitude, les coups, les balles, les vies prises. Tu détournes le regard pour pas voir le corps qui s’effondre et tu quittes les lieux. Tu veux pas entendre ses cris, tu peux pas entendre ces cris et gémissements qui te retournent l’estomac et le cœur, qui te nouent la gorge. Tu ranges ton arme alors que t’as les mains qui tremblent. C’était toujours comme ça, c’était si simple d’appuyer sur la détente, presque machinal, parce que tu te concentrais juste sur un point, pas sur une personne. C’était qu’après que la vérité te rattrapait, la vérité sur ce que t’avais fait. Tu attrapes la croix attachée à ton cou. Il est partout avec toi, ton Dieu, tu sais juste pas s’il approuve. Alors tu lui demandes une nouvelle fois de te pardonner, en espérant qu’il y arrivera.
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Seize ans. Tu gémis dans ton lit. Ca va aller. Ca va aller. Y a la douce voix de ta mère qui résonne et la caresse d’un baiser sur ton front fiévreux. Tu fermes les yeux mais y a rien qui peut éteindre la douleur que tu peux ressentir dans le bas de ton ventre. Tu peux encore sentir la chair se déchirer sous le coup de couteau. Tu peux encore sentir le liquide poisseux dans ta main lorsque t’avais pris conscience de ce qu’il se passait. Maman, j’ai peur. T’as peur de mourir. T’es trop jeune pour mourir. Et plus que de mourir, t’as peur de pas être pardonné. Parce que t’as déjà commis ce que tous appellent l’irréparable. C’était au cours d’un combat avec ceux qui cherchaient à vous virer de votre arrondissement. Ce jour-là, c’était vivre ou mourir et t’avais vécu. T’avais vécu mais t’avais pas dormi pendant un mois après, en proie à la culpabilité, alors que tu revoyais encore le visage de celui que t’avais poignardé. C’était pas là que tu voulais le viser. Tu voulais juste qu’il te lâche. Tu voulais juste que l’air revienne enfin dans tes poumons. Alors tu vas aller en enfer. Y a déjà plus d’espoir pour ton âme. Alors tu t’accroches. Parce qu’il valait mieux vivre que de sombrer. Ton visage est creusé et y a la grimace qui s’y installe alors que tu cherches une position plus confortable. Mais y en a pas. Il va falloir attendre. Attendre que ça passe. Prendre un cachet et se laisser sombrer. Il n’y a plus que ça à faire.
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Quinze ans. Tu trembles derrière ton masque alors que t’as le revolver braqué sur une femme et sa fille. Elle semble lourde l’arme au bout de ta main. T’as ton regard qui erre partout mais qui en accroche aucun. Parce que t’as pas envie qu’ils puissent lire la terreur dans ton regard affolé. T’as peur, tu flippes, t’as le cœur qui bat à mille à l’heure alors que t’as l’impression que la police va débarquer à n’importe quel moment. Tu regrettes d’avoir dit oui à ton père lorsqu’il t’a proposé de l’accompagner pour cette mission.
Parle. Gifle qui part pour aller s’écraser sur la joue de celui qui refuse de parler. Y a le sang qui perle là où la chevalière a heurté son visage. T’es dans l’ombre mais tu rates rien du spectacle, si on peut appeler ça ainsi. Tu te souviens encore la première fois que t’avais assisté à un interrogatoire musclé comme ils appelaient ça. Tu te souvenais encore de ton estomac retourné que t’étais allé vidé ailleurs. T’avais pas supporté de voir la douleur. Et puis t’avais appris qui il était et ce qu’il avait fait. Et tu t’étais dit qu’il l’avait peut-être mérité quand même. Dernière chance. Y a que son silence qui répond. Speedy, vas-y j’en ai marre. T’as les mains qui s’illuminent, tout de suite, tu vois qu’il y a quelque chose qui change dans son regard, une crainte qui apparait. Alors voilà, la situation est plutôt claire. Maintenant tu parles ou Speedy ici présent va se faire une joie de s’amuser avec tes petits yeux. Tu te rends compte, tu pourrais ne plus jamais voir tes enfants. T’as les mains qui s’ouvrent de nouveau, éblouissent un peu, mais pas suffisamment. Souvent, ça suffisait de les voir pour les faire parler. Parce qu’ils avaient peur du surnaturel les humains. C’était certainement moins douloureux que les coups ou une torture comme on pouvait parfois en voir dans les films, mais ça effrayait tout de suite plus. Tes mains, elles sont devenues une arme au sein de la mafia. T’avais peur de ce pouvoir, et puis t’avais fini par leur dire la vérité, après des mois de silence. Parce que tu n’avais plus eu trop le choix après avoir perdu le contrôle et avoir cramé un bout du papier peint du salon. T’avais jamais eu autant peur et la boule au ventre qu’avant de leur dire. T’avais tellement peur qu’ils aient honte de toi, qu’ils te foutent à la porte. T’avais pas envie de devenir un orphelin lambda, t’étais trop bien chez eux, loin de l’orphelinat et de tout ce qui pouvait y ressembler. A vrai dire, si tu te posais souvent des questions sur ta famille biologique, tu t’étais jamais senti orphelin, parce qu’ils avaient toujours été là pour toi. Et ça s’était bien passé. Y avait pas eu les cris ou les crises de larmes. Ta mère, elle avait compris que tu avais un secret, elle l’avait lu dans ton regard. Elle savait toujours tout et vous étiez bien incapable de lui cacher les choses. Et puis ton père, en voyant l’effet sur le papier peint, il avait compris qu’il y avait quelque chose à en tirer. Il en avait pas parlé tout de suite bien sûr, il s’était contenté de te rassurer. C’était plus tard qu’il t’avait demandé de venir l’aider et que t’avais dû jouer de ton pouvoir pour faire parler. Aveuglement, éblouissement, brulure, tes mains elles servaient bien régulièrement à ce petit jeu.
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Quatorze ans. Le gosse qui fait le guet, c’est toi, c’est toujours toi. Parce qu’on fait pas attention aux gosses qui trainent dans la rue. Encore moins quand c’est une bande de gamins. Pourtant, tes amis, tu les trahis, jour après jour alors que tu proposes les lieux de rendez-vous, des lieux de jeux. Parce que t’es l’œil de la mafia partout. L’œil du gamin qui passe inaperçu. Le petit-ami un peu trop parfait qui se fait inviter chez le père. Ils savent pas, eux, que t’es le gosse de la mafia. T’en parles jamais de ta vie. Parce qu’ils comprendraient pas. Peut-être aussi parce que t’as pas envie de les perdre. Ils permettent un équilibre dans ta vie, un équilibre un peu instable mais un équilibre tout de même. Parce qu’il y a pas beaucoup de gosses de ton âge dans les rangs, alors il faut que t’ailles voir ailleurs.
T’as la boule au ventre alors que t’es enfermé dans la salle de bain. Tu veux pas sortir. Tu sortiras pas tant que tes mains arrêteront pas d’émettre cette étrange lumière. T’as peur. T’as peur de tout perdre à cause de ça. Ils peuvent pas savoir, parce que sinon tu vas faire comme tous les autres, comme les disparus avant toi. Tu veux pas faire partie de ceux virés par principe de précaution. La mafia, c’est toute ta vie. C’est ta famille. Ta loyauté, elle a toujours été pour eux. Plus tard, t’allais prendre la place qui te revenait de droit. T’avais peut-être pas leur sang mais ton cœur, il leur appartenait depuis bien longtemps, peut-être plus que ceux qui en avait le sang parfois. T’étais peut-être français de naissance, mais c’était eux ta famille et ta vie, ton futur et ta raison d’être. Ils commençaient à t’envoyer partout et tu supporterais pas d’être mis à la porte, surtout pour quelque chose de soudain, pour quelque chose que tu ne comprenais pas. Tu devais être en train de rêver, un cauchemar dont t’allais bientôt sortir. Господи ! T’as la main qui s’écrase dans le miroir qui se brise. Y a les larmes de peur qui roulent sur tes joues. Les éclats de verre, ils s’enfoncent dans la chair de ta main et ça te calme. Tu te laisses tomber sur le tabouret qu’est là et t’entreprends de virer les morceaux enfoncés. Ca pique et y a cette main déjà rougie par les coupures, mais tu les oublies bien rapidement. Parce qu’avec la douleur, elles ont arrêté de s’illuminer, et c’est pour le mieux.
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Treize ans. Y a les chaines d’infos qui tournent en boucle, mais cette fois-ci, y a d’la joie dans les guettos. Parce qu’ils sont tous revenus les disparus. Si l’année dernière t’avais pas trop suivi, t’avais juste tenté de te mettre à la place des gens, là tu trouves ça carrément louche. Parce que depuis le temps, vous avez parlé. T’étais déjà content d’avoir perdu personne mais maintenant t’es content qu’il y ait pas de disparus dans ton quartier, proche de chez toi. Parce qu’il y a la crainte de l’inconnu et la haine de l’étrange. T’aimes pas ce que tu comprends pas. Et ça, ça c’est incompréhensible. Alors tu leurs parles pas, de toute façon, ils se souviennent de rien. Tu les évites comme la peste et y a la grande purge. Les têtes qui sautent. Parce que vous habitiez pas tous dans le dix-septième et y en a plusieurs qui sont virés de la famille. Tu les connaissais pas mais tu comprends la décision. Ils étaient partis un an et ils étaient incapables de dire ce qu’ils avaient fait. Y avait pas de place pour les traitres ou les potentiels traitres dans la famille.
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Douze ans. Y a les chaines d’infos qui tournent en boucle sur ces mystérieuses disparitions. Tu comprends pas trop quand ils en parlent les autres. Quand ils disent que c’est bien trop louche. Tu comprends pas non plus pourquoi ils disent que votre quartier il est béni. Pourtant il l’est. Sinon, vous auriez eu de la perte. Tu sais que t’as des amis d’autres arrondissements qui ont perdu des proches. Toi t’es juste content d’être dans le dix-septième et d’avoir perdu personne. Parce que comme ça, t’as personne à pleurer et c’est plus simple.
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Onze ans. T’es devant ton père à l’hôpital. T’as les larmes qui coulent le long de ton visage sans que tu puisses rien dire. Les fils qui sortent de son nez, les choses qui l’aident à respirer ça te fait peur. Il a pris une balle et il a perdu beaucoup de sang. Ta mère te dit qu’il va s’en sortir, que c’est pas la première fois. Mais toi, c’est la première fois que t’es dans un hôpital comme ça, et c’est la première fois que t’as peur comme ça. Tu rentres chez toi quelques heures plus tard, alors qu’il a pas ouvert les yeux et tu te mets à prier. Parce qu’il n’y avait que dieu qui pouvait lui venir en aide.
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Neuf ans. T’es qu’un gamin qui cours dans les rues avec ses amis. Personne pour vous faire de remarques, vous êtes sympa, vous êtes polis, vous embêtez personne. Non, tu joues tout simplement et y a rien de plus normal pour un enfant de ton âge.
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Sept ans. T’entends des brides de conversations dans la cuisine. Tu peux sentir la peur dans la voix de ta mère alors qu’elle semble être énervée. Et toi tu comprends pas. Tu comprends pas pourquoi elle pleure. Tu comprends pas que ce soir, ton père avait failli y passer parce qu’ils avaient voulu frapper un peu trop fort. Tu comprends pas parce que tu sais pas. Tu sais pas que t’es le gosse adopté par la mafia. Comment tu pourrais savoir, t’as sept ans et bien d’autres choses à faire que ça. La mafia, on t’en parle pas, jamais. Ca va maman ? Tu t’approches d’elle et elle se force à sourire. Ca va mon chéri, viens là. Tu t’installes sur ses genoux et tu la serres dans tes bras. Pourquoi tu pleures maman ? Il y a ce léger sourire bien rapidement voilé. Je t’expliquerai quand tu seras plus grand. Petite moue. Quand j’aurais huit ans ? Doux sourire. Oui, quand tu auras huit ans. Les explications, elles arriveront quatre ans plus tard quand ton père sera au fin fond d’un lit d’hôpital entre la vie et la mort.
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Six ans. Pour la première fois tu comprends vraiment que t’es pas comme les autres. Parce que les autres, ils ont les mêmes noms que leurs parents mais pas toi. Toi, t’es le blond qu’à des parents bruns. Toi, t’es le français qui sait aussi parler russe. Toi, t’es celui qui perd brusquement ses repères et poses des questions auxquels ils étaient pas préparés. Parce qu’ils s’étaient toujours dit que ça arriverait plus tard. Mais on comprend vite qu’on est différent lorsqu’on l’est et on creuse. Et toi tu creusais, sans comprendre, dans tes origines à ton niveau. T’avais juste pas réalisé avant, ou t’avais pas voulu que ce soit le cas. Parce que tes vrais parents, tu les avais jamais connus alors avant les remarques tu t'étais jamais posé la question. Tes parents c'étaient eux. C'était quand le fils d'un ami de tes parents qui l'avait dit. Maman c'est vrai que mes parents ils m'ont abandonné ? Tu vois la stupeur sur son Parce qu’il t’avait dit que t’étais adopté parce que t'avais été abandonné, et toi t’avais pleuré pendant des heures. Tu voulais pas être abandonné. Ils t'ont pas abandonné, ils t'ont confié à nous. Léger silence, malaise. Ils sont morts Jules. Morts. Morts. Morts. Y a ce mot qui résonne dans ton esprit. T’avais plus de parents et eux, ils savaient pas quoi dire ou faire d’autres que de te prendre dans leurs bras. C'est nous tes parents maintenant.- a game of shadows, shall we play ? -
Dernière édition par Jules E. Rivière le 22.02.19 10:59, édité 4 fois |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 18.05.18 22:04 ( ☾) | |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 18.05.18 22:05 ( ☾) | Coucou . Rebienvenue à la maison :3. Je vais attendre pour pouvoir lire cette fiche, mais j'ai hâte *envoie des cookies* |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 18.05.18 22:07 ( ☾) | J'ai hâte de voir ce que tu nous prépares! Re-bienvenue! |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 18.05.18 22:14 ( ☾) | Re-Bienvenue dans le coin avec ce petit perso |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 18.05.18 23:24 ( ☾) | c'est tout vide |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 19.05.18 0:10 ( ☾) | |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 19.05.18 8:37 ( ☾) | Le titititre Superbe nouveau perso |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 19.05.18 10:53 ( ☾) | J'allais dire : attention la schizophrénie te guette. Puis j'ai checké ton profil. En fait c'est trop tard pour ça re-bienvenue chez toi ^^ |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 19.05.18 14:06 ( ☾) | @Adèle Duval la schizophrénie c'est la vie Et c'est PAS VIDE d'abord Merci merci Je finis vite vite |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 19.05.18 18:23 ( ☾) | Re-bienvenue avec ce nouveau perso ! Hâte de voir ce que tu vas en faire |
| | | | Sujet: Re: jules † french blood, russian heart ★ 19.05.18 22:35 ( ☾) | you got the power Il est vraiment trop parfait ce personnage :globul:Déjà, c'est super bien écrit tmtc Je suis ultra fan du prologue, c'est dynamique ça se lit vite et enfin bref je kiffe Le reste est super bien travaillé et intéressant, une belle addition au groupe des humains Welcome to the human sideTon admin référent est Matt (a), adresse-toi à lui en priorité en cas de problème. Validation • message↯ Tu as peur ? C'est normal Mais ne t'en fais pas, ça va bien se passer pour toi, à condition que tu lises avec attention ce qui suit. ↯ Tout d'abord, si ce n'est pas déjà fait, il est nécessaire pour toi de bien lire le règlement (alors, on l'a toujours pas fait ? CHENAPAN ), ainsi que de bien t'imprégner du contexte, pour être sûr de comprendre les futures intrigues. Si tu as l'impression d'être un peu perdu, la situation contextuelle te permettra de mieux comprendre le forum ↯ Si tu n'as pas tout suivi, la FAQ pourra t'aider avec les questions les plus importantes sur le forum Bien entendu, le guide du débutant pourra être d'une aide précieuse dans tes débuts sur GOS ↯ L'univers de GOS est parfois un peu complexe, mais pas trop. Alors spécialement pour vous (enfin pas trop quand même), nous avons créé une annexe pour les humains, pour tout savoir sur nos amis les fragiles qui peuplent le forum De même, l'annexe sur Paris te permettra de tout savoir sur le jeu d'ombre dans la capitale parisienne. Comme tu le sais, sur Paris, la guerre fait rage, et une annexe sur le fonctionnement de la guerre secrète à Paris a été mise en place spécialement pour toi. De plus, si tu veux avoir un petit résumé de la ville, la carte de Paris te permettra de voir l'ambiance qui règne dans chacun des arrondissements. ↯ Pour un profil tout beau tout neuf, mais aussi pour aider les autres membres à comprendre un peu ton personnage, nous te conseillons de remplir les champs de ton profil qui sait, cela pourrait te permettre de trouver des liens facilement ↯ Tu apportes une toute nouvelle tête de rêve dans nos contrées Tu peux vérifier que ton avatar a bien été ajouté au le bottin. Si on t'as malheureusement oublié, tu peux venir le signaler le sujet de réservation. ↯ C'est ici que vient la partie quelque peu administrative pour ton tout nouveau bébé personnage. C'est pour cela qu'il est nécessaire de venir répertorier ton personnage en utilisant les formulaires qui se trouve dans le sujet de recensement. Et comme on t'aime trop pour de perdre au milieu de la paperasse, c'est le seul endroit où tu auras besoin de passer . ↯ Maintenant que tu es en règle, j'imagine que tu veux te faire des vrais potos ? Le meilleur moyen, c'est de te créer une fiche de liens, afin qu'on vienne t'en demander. Tu peux aussi faire une fiche de topics, pour te lancer dans le grand bain et répertorier tous tes rps . ↯ Pour faire évoluer ton personnage dans l'univers de gos, pense bien à créer ta fiche de badges. Tu trouveras toutes les explications dans ce sujet . ↯ Paris est grand, hostile, et on peut se sentir un peu seul parfois Tu as peut-être une idée de personnage qui serait directement liée au tien, et dans ce cas, rien de tel que de créer un petit scénario pour trouver ton bonheur. ↯ On espère que tu resteras notre esclave jusqu'à ce que mort s'en suive longtemps parmi nous, afin de participer à toutes les intrigues de fifou qui viendront Tu peux déjà t'inscrire à l'intrigue en cours et participer aux quêtes proposées. Tu ne sais pas ce que sont les quêtes ? Voici un sujet sur leur fonctionnement (t'as vu, on a pensé à tout ). ↯ En attendant, tu peux déjà participer à l'évènement en cours, tu verras, c'est la grosse ambiance (pour en savoir plus sur le fonctionnement des évènements, tu peux lire ce sujet, qui t'aidera à mieux tout comprendre. ↯ Enfin, n'hésite pas à te rendre dans la partie secrète des humains pour y découvrir le flood et tous les secrets de ton groupe ↯ Amuses toi bien sur GOS, et encore bienvenue |
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